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Foncier ; reforme de l'armée, université
La société civile confie ses inquiétudes à Ouattara

Vendredi 18 Mai 2012
 

La société civile a été reçue en audience par le président de la République, Alassane Ouattara mercredi dernier. Au centre des échanges, plusieurs sujets relatifs à la crise ont abordés:
A la tête d'une délégation composée du patronat, du monde du travail, le coordonnateur de la convention nationale de société civile (CNSC), Patrick N'Gouan est allé rendre compte de ses activités au président de la République, mercredi 16 mai en milieu d'après midi. « Nous avons rencontré le Président de la République pour lui rendre compte des principales recommandations des journées de consensus national qui se sont tenues en Côte d'ivoire du 27 au 30 mars 2012. Notre délégation est composée du secteur privé, représenté par le patronnât, ensuite du monde du travail, représenté par l'UGTCI, la plus grande centrale syndicale. Nous avons donc relevé les points de recommandations faites au consensus national qui sont déjà mis en œuvre par le président de la République et nous le félicitons pour cela », a déclaré Patrick N'Gouan à sa du sortie d'audience. Pour le coordonnateur, certains autres points inscrits au nombre des priorités de la société civile, qui jusque-là ne sont pas pris en compte par le gouvernement, méritaient d'être portés à la connaissance du chef de l'Etat afin que cela figure dans les priorités de l'exécutif. « Ensuite nous lui avons rappelé son attention sur certaines recommandations que nous aimerions voir figurer dans les priorités du gouvernement », a-t-il indiqué. Pour la faîtière de la société civile souhaite en outre, un conseil national dont le but serait de comprendre le suivi, le fonctionnement et la gestion des organes en charge des dossiers poste crise à l'effet d'en fait un large écho au sein de la population, pour leur enlever toute suspicion qui pourrait affecter le processus de paix. « Nous avons souhaité vivement la mise en place, d'un conseil national de consolidation de la paix qui serait de comprendre, de suivre les dossiers comme le dédommagement des victimes de guerre, la justice post-crise, la réconciliation nationale, la reforme de l'armée, la réforme de l'administration. Donc tous ces dossiers sensibles qui sont gérés par des organes compétents de l'Etat, il va falloir qu'on puisse comprendre leur gestion et faire des propositions aux détenteurs de ces dossiers là et expliquer cela aux populations pour que tout le monde comprenne le bien fondé de la gestion de ces dossiers », a souligné le chef de délégation qui a aussi mis un accent sur le foncier rural qui est, selon lui, à l'origine des conflits intercommunautaires « Nous avons souhaité vraiment diffuser le code foncier rural. Parce que c'est une loi sur le foncier qui a été acceptée par tous les parlementaires à l'époque et c'est l'une des causes des conflits intercommunautaires. Donc, il va falloir expliquer davantage le code foncier rural », a-t-il exhorté. Mais pour la société civile, une attention particulière doit être accordée à la région de l'Ouest qui a payé un lourd tribut de la crise postélectorale pour sa reconstruction. « L'autre priorité, c'est que nous avons souhaité qu'un accent soit mis sur la région Ouest qui a le plus souffert de la crise poste électorale pour qu'il y ait une priorité au niveau des infrastructures, de l'emploi, de la lutte contre la pauvreté et de l'insertion sociale dans la région Ouest. Un véritable plan marshal d'urgence spécial s'impose pensons que sur ce plan, nous sommes même longueur d'onde avec le Président précisé Patrick N'Gouan qui a égaleir timé que l'école mérite une réflexion p de tous les acteurs de l'éducation pou retomber dans une autre crise juste réouverture des universités. « La situ; l'école qui est très malade depuis plusi nées. Nous avons souhaité vraimer mette à profit ce temps de fermeture versités pour repenser réellement l'éc rienne avant la rentrée prochaine. Par travail d'investissement est entrain cls sur les campus, nous les voyons mais ; beaux bâtiments et que l'état d'espri changé, on a peur qu'on retombe dan! Nous avons donc obtenu du Président hension, pour qu'on puisse organl séance de réflexion profonde avec toi teurs de l'éducation pour repartir sur velles bases », a soutenu le coordc national de la société civile qui croit entendu par le chef de l'Etat sur les di recommandations exposées par la dé qu'il conduite. « Nous pensons que le | de la République en a pris bonne not pensons qu'il va nous soutenir en doi instructions nécessaires pour que toul bien. », a-t-il conclu.




 

Jules Eugène
 
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